Ivan Ivanovitch Rjevsky g. 1615? a. a. 3 Eost 1678 - Taolenn an diskennidi

Il fut le seul enfant du boyard Ivan Ivanovitch Rjevsky.
1640 à 1668, il fut noble de Moscou et noble de la Douma (conseil consultatif des grands princes).
1649-1652, il fut voïvode à Korotcha.
1656-1657, il fut voïvode à Zmiev (aujourd'hui Zmiïv en Ukraine) sous le règne du tsar Alexeï I Mikhaïlovitch.
1658-1663, il fut voïvode à Ienisseï.
1665-1672, il fut voïvode à Nejine en Petite Russie (aujourd'hui Nijyn en Ukraine).
1672-1674, il fut voïvode à Veliki Oustioug.
1674-1677, il fut commandant du siège de Kiev, territoire ukrainien placé sous le protectorat de Moscou.
1677, il fut okolnichy ('assis près de l'Empereur') sous le règne du tsar Fedor III Alexeïevitch.
1678, il fut envoyé à Tchiguirine, quartier d'hiver fortifié des Cosaques (aujourd'hui Tchyhyryne en Ukraine) pour organiser la défense de la forteresse contre les Turcs et les Criméens, il dirigea la garnison et il fut tué par une grenade turque.

• Voir en russe, Chapitre 2 La continuation du règne d'Alexei Mikhailovich

Elle fut la cousine d'Anna Alexeïevna Rjevsk (Golitsyne) et de son frère Iouri Alexeïevitch Rjevsky qui fut l'arrière-arrière-grand-père du poète Alexandre Sergueïevitch Pouchkine.

• Source Wikipedia Чернышева, Авдотья Ивановна / Avdotia (Evdokia) Ivanovna Rjevsky (Tchernychev)

1709, à l'âge de 16 ans, elle fut la maîtresse du tsar Piotr I Alexeïevitch ou Pierre I le Grand et elle reçut de sa part le titre clownesque de prince abbesse.
1710, à l'âge de 17 ans, avec une dot de 4 000 paysans offert par le tsar Piotr I Alexeïevitch, elle fut mariée à Grigori Petrovitch Tchernychev qui cherchait une promotion, mais elle resta l'amante du tsar Piotr I Alexeïevitch. Elle eut quatre filles et trois fils du tsar mais, compte tenu de la disposition très frivole d'Avdotia Ivanovna, les droits paternels du tsar Piotr I Alexeïevitch ou Pierre I le Grand furent plus que douteux.

В 10-летнем возрасте поступил на службу к владетельному герцогу Шлезвиг-Голштинскому Карлу-Фридриху, у которого был пажом, затем камер-пажом.

Il fut le fils de Grigori Petrovitch et d'Avdotia (Evdokia) Ivanovna, née Rjevsky qui fut la maîtresse de l'empereur Piotr I Alexeïevitch ou Pierre I le Grand.
Vers 1744, l'impératrice Elizaveta I Petrovna conseilla d'envoyer Zakhar Grigorievitch à l'armée, trouvant inadmissible sa relation avec la future épouse de l'empereur Piotr Fiodorovitch, Catherine ou Ekaterina Alexeïevna.
1749-1758, il rejoignit l'armée et il devint célèbre pour ses actions réussies pendant la guerre de Sept Ans (lors de la bataille de Zorndorf où il commanda les grenadiers et où il fut capturé, et après un échange de prisonniers, il retourna dans les rangs de l'armée).
1760, auparavant à son père Grigori Petrovitch, il entreprit d'organiser sa résidence de campagne dans sa partie nord-est du domaine Iaropolets où sa nièce Natalia Petrovna Tchernychev (Golitsyne) donna naissance à son fils, Dmitri Vladimirovitch Golitsyne, futur gouverneur de Moscou.
1760, pendant la Guerre de sept ans, il commanda l'une des divisions qui fit le raid sur Berlin.
1761, il reçut l'ordre de l’Aigle noir prussien.
1762, à l'accession au trône de l'empereur Piotr III Fiodorovitch, il dirigea le corps chargé de renforcer l'armée de Frédéric le Grand.
1762, à l'accession au trône de l'impératrice Catherine II ou Ekaterina II Alexeïevna, il reçut l'ordre, à la vieille de la bataille de Burkersdorf, de quitter l'armée de Frédéric II (roi de Prusse), mais il détourna à la demande de Frédéric II l'attention d'une partie des troupes autrichiennes.
1762, il reçut l'Ordre de Saint-André et il devint maître suprême des cérémonies.
1763-1774, il fut le président du Collège militaire et il contribua à une meilleure gestion administrative et économique de l'armée dans les guerres de l'Empire ottoman et de la Confédération de Bar.
1773, il fut nommé maréchal (Генерал-фельдмаршал, 1e rang dans la table des rangs, voir en russe la Table des rangs).
1773-1782, après le premier partage de la Pologne, il fut nommé gouverneur général des terres annexées (gouverneur général biélorusse) ou premier gouverneur général du gouvernement de Moguilev (aujourd'hui en Biélorussie) et du gouvernement de Polotsk (aujourd'hui en Biélorussie).

Palais Tchetchersk.

Domaine Iaropolets.

Il construisit le palais Tchetchersk (ou Tchatchersk en biélorusse) où il reçut pompeusement l'héritier au trône Pavel Petrovitch qui visita son domaine (à sa mort, son domaine fut racheté par le Trésor et il devint le siège des gouverneurs de Moscou).
Vers 1774, il forma le premier majorat dans sa partie nord-est du (voir en russe, domaine Iaropolets) (possession indivisible) près de Volokolamsk que seul l'aîné des Tchernychev devait hériter.
Vers 1774, l'impératrice Catherine II ou Ekaterina II Alexeïevna visita son domaine Iaropolets.
Son palais du domaine Iaropolets fut considéré comme l'un des plus riches de la région de Moscou avec une décoration intérieure et extérieure en stuc et une décoration sculpturale et le parc servit de modèle à de nombreux autres domaines (mais il fut sans enfant et ce fut son jeune frère Ivan Grigorievitch qui en hérita).
1774, il fut membre de la loge maçonnique de Saint-Pétersbourg.

Il fut le seul fils légitime de Grigori Petrovitch (Grigori Ivanovitch Moulovsky fut son fils illégitime) et d'Avdotia (Evdokia) Ivanovna, née Rjevsky qui fut la maîtresse de Piotr I Alexeïevitch ou Pierre I le Grand.
Il étudia au premier corps de cadets.
1741, il acheva ses études auprès de son frère Piotr Grigorievitch qui fut nommé ambassadeur extraordinaire auprès du tribunal danois-norvégien sous le règne du roi Christian VI.
Il participa avec son frère à des missions diplomatiques au royaume en Prusse et au Royaume-Uni.
1749, il épousa une cousine de l'impératrice Elizaveta I Petrovna, Elizaveta Ossipovna, née Efimovsky et il fut promu cadet de chambre (Камер-юнкер, 5e rang dans la table des rangs, voir en russe la Table des rangs).
1755, après une absence de 14 ans, il fut promu chambellan (Камергер, 4e rang dans la table des rangs).
1757-1770, il acheta en Oural les fonderies de cuivre publiques de Iougovsk et en 1770, en raison de problèmes financiers, il les vendit au Trésor.
1762, avec l'accession au trône de l'impératrice Catherine II ou Ekaterina II Alexeïevna, il fut promu lieutenant général (Генерал-поручик, 3e rang dans la table des rangs) et il fut transféré du service diplomatique au service naval.

Manoir Alexandrino.

Datcha Alexandrino.

Vers 1760, il devint le propriétaire de la section ouest de la datcha Alexandrino situé sur la route de Peterhof (auparavant domaine de la sœur de l'empereur Piotr I Alexeïevitch ou Pierre I le Grand, Natalia Alekseïevna depuis 1714, puis de Piotr Andreïevitch Tolstoï).
1762, il commanda la construction de sa maison de campagne à l'architecte français Jean-Baptiste-Michel Vallin de La Mothe.

Aujourd'hui Palais Mariinsky.

1763, l'impératrice Catherine II ou Ekaterna II Alexeïevna lui donna un terrain.
1768, le comte érigea pour lui-même un palais luxueux conçu par l'architecte Jean-Baptiste-Michel Vallin de La Mothe.
1763, il fut nommé membre du Collège de l'amirauté.
1764, il fut nommé commandant de la flotte de galères.
1767-1768, il fut envoyé par l'impératrice Catherine II ou Ekaterina II Alexeïevna comme ambassadeur extraordinaire et plénipotentiaire au Royaume-Uni.
1769, il fut nommé vice-président du Collège de l'amirauté.
1776, après plusieurs années en congé de traitement, il fut convoqué à Moscou et il reçut l'Ordre de Saint-Alexandre Nevski et l'Ordre de Saint-André pour récompenser son entreprise de restauration de la flotte.

Iaropolets.

1784, il hérita de son frère Zakhar Grigorievitch de la partie nord-est du (voir en russe, domaine Iaropolets) près de Volokolamsk qui passa à son fils Grigori Ivanovitch ainsi que la datcha Alexandrino et le palais à Saint-Pétersbourg.
1796, il fut promu par l'héritier du trône Pavel Petrovitch maréchal de la flotte (Генерал-фельдмаршал, 1e rang dans la table des rangs) et président du Collège de l'amirauté.

Il fut le fils de l'adjudant Andreï Ivanovitch et d'Ekaterina Ionovne, née Veliaminov.
1767, il participa à la commission de rédaction d'un projet de nouveau code en tant que député de Vorotynsk du gouvernement de Moscou.
En tant que membre de l'Académie impériale de Russie, il participa à la création d'un dictionnaire de langue russe.
Il fut ami avec l'homme politique et poète Ivan Ivanovitch Dmitriev ou Dmitrieff, Gavrila Romanovitch Derjavine et son écriture fut sous l'influence du poète, dramaturge et fabuliste Alexandre Petrovich Soumarokov ; il fut populaire en tant que poète lyrique, bien que son travail porta les caractéristiques de l'amateurisme aristocratique.
1769, ce fut la mise en scène de sa tragédie Fausse mort (inspirée des Histoires ou l'Enquête d'Hérodote).
1769, il perdit sa femme Alexandra Fedotovna, née Kamensky de fièvre post-partum avec son fils nouveau-né.
1771-1773, il devint vice-directeur de l'Académie impériale des sciences et des arts appliqués de Saint-Pétersbourg.
1775-1785, il fut président de la faculté de médecine.
1777, il épousa Glafira Ivanovna, née Alymov.
1782, il entra dans l'ordre des francs-maçons.
1783, il devint sénateur et il fut nommé au grade de conseiller privé (Тайный советник, 3e rang dans la table des rangs, voir en russe la Table des rangs) sous le règne de l'impératrice Catherine II ou Ekaterina II Alexeïevna.
1785, il reçut l’Ordre de Sainte-Anne.
1794, il occupa le poste électif de juge à Saint-Pétersbourg.
1797, il fut conseiller privé actif par intérim (Действительный тайный советник, 2e rang dans la table des rangs).
1799, il reçut l'Ordre de Saint-Alexandre Nevski sous le règne de l'empereur Pavel I Petrovitch.
1800, il fut révoqué de ses fonctions.

Elle fut la fille aînée du diplomate Piotr Grigorievitch et d'Ekaterina Andreïevna, née Ouchakov.
Elle fut la sœur de Natalia Petrovna, la princesse surnommée 'princesse moustache' dont le poète Alexandre Sergueïevitch Pouchkine se servit comme prototype pour incarner la vieille comtesse dans La Dame de pique.

Elle passa son enfance et son adolescence à l'étranger du fait des fonctions de son père et elle fut avec sa sœur parmi les femmes russes les plus éduquées parlant couramment quatre langues, mais connaissant mal sa langue maternelle ; grande, imposante, aux manières masculines, elle eut une apparence majestueuse.
1765, la famille revint sur le sol natal.
1768, elle joua dans une comédie française qui fut donnée à la cour à l'occasion de la convalescence de l'impératrice Catherine II ou Ekaterina II Alexeïevna.
1771, elle épousa le célèbre héros de la guerre russo-turque, Ivan Petrovitch Saltykov. Elle traita avec condescendance et une pointe de mépris les nombreux amours de son mari, ne s'humiliant jamais à la jalousie.
1780, pour améliorer sa santé, elle partit à l'étranger avec son mari et ses filles. Ils visitèrent Berlin, Dresde, Bruxelles, ils vécurent trois mois à Londres et ils passèrent un an à Paris où ils contractèrent des dettes si énormes que l'envoyé russe à la cour de France les qualifia de 'déshonneur pour toute notre nation'.
1783-1787, ils retournèrent sur le sol natal et ils vécurent à Vladimir.
1797, la famille s'installa à Moscou où ils vécurent luxueusement, donnèrent des bals regroupant jusqu'à 800 personnes et l'été au (voir en russe, Manoir de Marfino) ou Bogorodskoe du gouvernement de Moscou où elle organisa des fêtes pendant plusieurs jours.
1802, elle mourut de maux d'estomac.

Службу начинал гардемарином. в 1761 поступил в Морской кадетский корпус кадетом, 1 мая 1767 произведён был в гардемарины и ежегодно плавал в Балтийском море. 25 июня 1770 произведён был в мичманы и на корабле «Всеволод», в эскадре контр-адмирала Арфа, перешёл из Кронштадта в Архипелаг, где и крейсировал в 1771—1774, причём 24 ноября 1773 получил чин лейтенанта.

Не блистала красотой, но пользовалась большим успехом в свете при дворе Екатерины II.

Elle fut la grand-mère paternelle du poète Alexandre Sergueïevitch Pouchkine.

• Source Wipidépia Ossip Hannibal

Sa dot fut la propriété d'Iaroslavl vendue au début de son mariage pour cause de dettes d'Ossip Abramovitch.
1775, elle fut abandonnée par son mari.
1784, elle l'accusa de bigamie (il s'était remarié à Oustina Ermolaïevna Tolstoï, prétextant qu'elle était morte) et le poursuivit en justice (ainsi que sa seconde épouse pour cause d'escroquerie).

Действительный тайный советник, обер-шенк, сенатор, камергер. Дипломат (посланник в Дрездене (1779/89), Турине (1789/93)), писатель, коллекционер. За свои труды был избран в члены различных обществ: Петербургской Академии наук, Российской академии, Булонского института и др. Почетный член Петербургской академии художеств и многих других академий. Его перу принадлежало исследование "О музыке Италии". Переписывался со многими знаменитостями, в том числе с Вольтером и Дидро. Известен как писатель (писал по-французски). Любил искусство и вывез из-за границы прекрасную коллекцию картин.

Il fut le fils d'Ivan Grigorievitch et d'Anna Alexandrovna, née Isleniev.
1776, il étudia à l'université de Strasbourg et durant son séjour, il fut initié à la franc-maçonnerie dans l'une des loges locales.
1776, il reçut le grade de chambellan de chambre (Камер-юнкер, 5e rang dans la table des rangs, voir en russe la Table des rangs) sous le règne de l'impératrice Catherine II ou Ekaterina II Alexeïevna.
Dans les années 1790, il vécut à l'étranger avec ses parents.
1795, de retour sur le sol natal, il mena une vie luxueuse faisant étalage de toutes ses trouvailles venues d'Italie (États pontificaux) et de Vienne de l'archiduché d'Autriche.
1796, il épousa Elizaveta Petrovna, née Kvachnine-Samarine.

Iaropolets

Datcha Alexandrino.

1797, il hérita selon la prérogative établie par son oncle Zakhar Grigorievitch non seulement de la fortune de son père, mais aussi de la partie nord-est du (voir en russe, domaine Iaropolets) près de Volokolamsk qui passa à sa fille Sophia Grigorievna Tchernychev (Krouglikov) ; la section ouest de la datcha Alexandrino situé sur la route de Peterhof qui fut à plusieurs reprises à divers personnes jusqu'en 1806 où son propriétaire fut le comte Nikolaï Petrovitch Cheremetiev et le palais de Saint-Pétersbourg, mais bientôt le palais fut transféré au Département du Trésor des fiduciaires pour dettes.
Autour de la maison se trouva le parc Alexandrino.
1798, il essaya de récupérer auprès de son beau-frère, Fiodor Fiodorovitch Valkovsky, le mari de sa sœur Ekaterina Ivanovna, la somme de 93 000 roubles qu'il s'appropria en gérant leurs affaires, mais n'ayant cette somme, son beau-frère lui acheta ses factures à bon marché.
1799-1801, il fut jusqu'au début du règne de l'empereur Alexandre I Pavlovitch nommé pour assister le chambellan en chef à la direction du théâtre, Alexandre Lvovitch Narychkine.
Vers 1799-1806, par décret de Pavel I Petrovitch une curatelle fut établie, ses dettes ayant atteint la somme de 2 millions de roubles et en 1806, la curatelle fut retirée.
1821, il publia plusieurs comédies et proverbes français écrits par lui pour le théâtre de la cour.
1828, il devint veuf.
1831, il mourut à Orel et ses biens ne revinrent pas à son seul fils Zakhar Grigorievitch déchu de toute fortune et de tout patrimoine en raison de sa participation à l'insurrection décabriste et condamné en septième Catégorie à l'exil en Sibérie, mais au mari de sa première fille Sophia Grigorievna, Ivan Gavrilovitch Krouglikov.

Степан Алексеевич Колычев родился в 1746 году в семье секунд-майора Алексея Степановича Колычева. Его дед, герольдмейстер и президент Юстиц-коллегии Степан Андреевич Колычев, был сподвижником Петра I[1]. В 14 лет Степан Алексеевич Колычев был принят на службу в Измайловский полк в чине капрала. В 1765 году унтер-офицер, а затем вахмистр конной лейб-гвардии, в 1769 году поручик армии. В 1770 году граф Панин, приятель Алексея Колычева, пригласил его сына на дипломатическую службу и направил посланником в Гаагу. Предполагалось, что дипломатическую службу юноша будет сочетать с учёбой. 15 месяцев Степан Колычев посещал лекции в Лейденском университете, а затем через Париж и Лондон вернулся в Россию. Из России его снова направили в Париж, советником посольства, а через пять лет перевели в Неаполь. Поскольку русская миссия в Неаполе так и не открылась, Колычев не выполнял никакой дипломатической работы в течение года, вместо этого путешествуя по Италии, а в 1782 году, после возвращения в Санкт-Петербург был произведён в камер-юнкеры. Год спустя его снова отправили в Гаагу, теперь уже в ранге чрезвычайного и полномочного министра. По ходу службы в Гааге Колычев представлял российскую императрицу в примирении между Генеральными штатами и императором Иосифом II в вопросе о судоходстве по реке Шельда. В 1789 году он был награждён орденом Св. Владимира II степени и назначен камергером. В феврале 1793 года ему пришлось покинуть Гаагу, захваченную французской армией. В 1794 году Колычев был направлен послом в Берлин, где представлял Россию в переговорах о третьем разделе Польши и о планируемом военном союзе против Франции. В июле 1797 года снова назначен полномочным министром и чрезвычайным посланником при Голландской республике. В 1799 году произошло ухудшение отношений между Россией и Австрией, и посол России в Вене, граф Разумовский, был вынужден оставить австрийскую столицу. На его место был направлен Колычев, уже в чине тайного советника, но ему не удалось добиться улучшения обстановки, и на следующий год он тоже был отозван. В конце 1800 года император Павел Петрович отправил его в качестве специального посланника в Париж, к первому консулу Бонапарту, предложившему России союз против австрийцев. В декабре 1800 года Колычев, уже действительный тайный советник, получил инструкции, в соответствии с которыми Россия отказывалась от любых действий в поддержку Австрии и признавала границы Франции по Рейну. Франции, кроме того, предлагался обоюдовыгодный торговый договор, а в секретном приложении Колычеву предписывалось рекомендовать Бонапарту принять наследственный королевский титул. В феврале 1901 года Колычев прибыл в Париж и начал переговоры, но они оказались настолько трудными, что уже в марте он подал прошение об отозвании, которое не было удовлетворено. Вступивший на престол новый император, Александр I, присвоил Колычеву ранг вице-канцлера и в апреле дал разрешение на подписание трактата с Францией от его имени. Тем не менее Колычев продолжал просить об отозвании, в том числе и по семейным обстоятельствам, в связи с болезнью оставшейся в Санкт-Петербурге жены, и в июне в Париж был назначен новый посланник, а Колычев покинул Францию в сентябре того же года.

После возвращения из Парижа до конца жизни Колычев не участвовал в активной политической дятельности. План направить его послом в Лондон не был осуществлён.

Степан Алексеевич Колычев похоронен на Лазаревском кладбище Александро-Невской лавры.

Супруга — 1799 — Хитрово Наталья Захаровна (1774—1803), родная сестра Николая Захаровича Хитрово (1779—1827)

1786, lors de son mariage, le comte Piotr Ivanovitch Panine lui rendit l'héritage de son grand-père, un domaine de 3 000 âmes (sa mère fut déshéritée au profit du comte Piotr Ivanovitch Panine car elle épousa sans le consentement de ses parents son père Nikolaï Lavrentievitch Chetnev et, à la mort de Nikolaï Lavrentievitch, le comte Piotr Ivanovitch Panine devint le tuteur d'Ekaterina Nikolaïevna).
Elle eut une réputation extrêmement négative dans la haute société en raison de sa superstition et de son fanatisme. Elle ne cacha à personne ses liens intimes avec le bel officier, le prince Fiodor Petrovitch Ouvarov qui, grâce à elle, eut une carrière enviable.

Как литератор писал под псевдонимом «Дм. Пименов». Умер в Вильне от раны, полученной при Бородине.

Elle fut la fille aînée d’Ivan Petrovitch et de Daria Petrovna, née Tchernychev.
1792, elle devint dame d'honneur de l’impératrice Catherine II ou Ekaterina II Alexeïevna.
1795, elle épousa Piotr Vassilievitch Miatlev.
Sa passion pour le théâtre, dans sa jeunesse elle participa à des représentations à la cour, ne diminua pas avec le temps et elle organisa régulièrement divers événements de divertissement et elle donna des bals pour tous les étrangers qui vinrent à Saint-Pétersbourg.

Son arrière-grand-père du côté maternel fut le tsar de Karthli Vakhtang VI.

• Source Wikipedia Sophie Stroganov

Elle traduisit en russe la Divine Comédie de Dante.
1792, elle rencontra son futur mari lors d'un séjour avec ses parents au (voir en russe, domaine de Bratsevo).
1794, elle devint l'une des amies proches de la princesse de Bade Elizaveta Alexeïevna, l'épouse du futur empereur Alexandre I Pavlovitch.
1814, son unique fils Alexandre Pavlovitch fut tué frappé à la tête par un boulet de canon lors de la bataille de Craonne par les troupes de Napoléon Ier.

Demeure de Marino.

1817, elle prit en charge à la mort de son mari Pavel Alexandrovitch, la gestion du domaine de Marino près de Saint-Pétersbourg qui fut reconstruit en style néoclassique entre 1814-1817 et qu'elle fit embellir d'un parc à l'anglaise et de divers pavillons dont une ferme.
1825, elle y fonda une école d'agriculture, d'art paysager et d'exploitation forestière et elle créa un fonds de pension pour ses domestiques et ses artisans.

Domaine Marfino.

1779, elle fut la troisième fille du maréchal Ivan Petrovitch et de Daria Petrovna, née Tchernychev.
Elle eut une réputation de femme instruite connaissant les langues étrangères et la littérature.
1799, avec la permission de l'empereur Pavel I Petrovitch, à Moscou, elle fut fiancée au comte Grigori Vladimirovitch Orlov.
1800, elle épousa Grigori Vladimirovitch.
Son mari quitta le service et le couple partit pour l'étranger afin de soigner la maladie cardiaque d'Anna Ivanovna.

• Voir en russe, Manoir de Marfino

1805, à la mort de son père, le domaine sombra progressivement dans la désolation.
Vers 1812, après la mort de son frère Piotr Ivanovitch, elle hérita du Manoir de Marfino.
Vivant à l'étranger, en accord avec sa femme, le domaine fut confié à son père Vladimir Grigorievitch Orlov.

Palais dans le domaine Otrada.

1815, le couple s'installa à Paris et de nombreux écrivains et scientifiques se réunirent dans le salon d'Anna Ivanovna, attirés par les activités littéraires du comte qui entreprit une nouvelle traduction en français des fables d'Ivan Andreïevitch Krylov avec l'aide d'écrivains français et italiens.
1824, elle décéda à Paris sous Charles X, roi de France et de Navarre sous la Seconde Restauration française.

Il fut le fils d'Alexeï Andreïevitch et de Glafira Ivanovna, née Alymov.
1796, il fut officier du régiment Semionovsky.
1803, il épousa Varvara Alexandrovna Rimsky-Korsakoff, la belle-sœur du compositeur Alexandre Alexandrovitch Aliabiev.
1806, il fut colonel (Полковник, 6e rang dans la table des rangs, voir en russe la Table des rangs) sous le règne de l'empereur Alexandre I Pavlovitch.

женат на Елизавете Григорьевне Колокольцевой (1803-1882)

Хозяйка знаменитого московского литературного салона в 1824-1829 гг., объединявшего московскую творческую элиту. Салон в 1826—27 посещали А.С.Пушкин, А.Мицкевич, Е.А.Баратынский, Д.В.Веневитинов и др. С 1829 г.жила в Риме, где, перейдя в католичество, организовала другой салон. В римской вилле Волконской подолгу жил Н.В.Гоголь. Собирала западноевропейскую живопись и скульптуру, произведения античного искусства. Волконская – автор исторической поэмы «Ольга», музыкальной драмы в стихах «Жанна д’Арк» (1821, поставлена в Риме с Волконской в главной роли) и стихов на русском, французском, итальянском языках, опубликованных в журналах и альманахах в 1826-1842 годах. Из четырех повестей Волконской, написанных на французском языке, интересна автобиографическая повесть «Лаура» (вошла в книгу «Четыре новеллы», 1819). Историческое сочинение «Славянская картина V века» выдержало три издания (Париж, 1824, Москва, 1825, Варшава, 1826). Волконская воспета Пушкиным, Веневитиновым, И.И.Козловым, Мицкевичем и др.поэтами.

Что делает в деревне дальной Совсем не сельская вдова? Какие головы кружит в глуши печальной, Хоть, может быть, и есть в селенье голова?

• Voir en russe, famille Ivan Gavrilovitch Krouglikov

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Elle fut la fille aînée du comte Grigori Ivanovitch et d'Elizaveta Petrovna, née Kvachnine-Samarine.
1823, elle fut demoiselle d'honneur à la cour.
Elle reçut une excellente éducation à la maison et, comme tous les Tchernychev, se distingua par une indépendance, une simplicité et un mépris des conventions du grand monde.
Elle fut courtisée sans succès par Evgueni Poniatovsky, un ami du régiment de cavalerie de son frère Zakhar Grigorievitch.
1825, dans sa maison, les deux filles aînées du décabriste Vassili Lvovitch Davydov condamné à l’exil en première catégorie, Maria Vassilievna et Ekaterina Vassilievna furent élevées.
1828, elle épousa à 28 ans le conseiller secret Ivan Gavrilovitch Krouglikov.
1832, elle reçut la partie nord-est du (voir en russe, domaine Iaropolets) près de Volokolamsk et son mari reçut l'autorisation par décret d'annexer à son nom, le nom de famille, le titre de comte et les armoiries de son père car son frère Zakhar Grigorievitch fut déchu de tout patrimoine et fortune en tant que décabriste condamné à l’exil en septième catégorie.
1833, elle demanda à Alexandre Khristoforovitch von Benckendorff de transporter les cendres de sa sœur Alexandra Grigorievna Mouraviov décédée en Sibérie, mais l'empereur Nikolaï I Pavlovitch ne leur donna pas sa permission.
Elle réussit à obtenir l'autorisation d'emmener sa nièce orpheline Sophia Nikititchna Mouraviov à l'étranger où elle-même vécut pendant longtemps.
1847 elle mourut à Wiesbaden du duché de Nassau de la Confédération germanique.

...

Во время одной из командировок в Ахтырку унтер-офицер Шервуд весною 1824 года случайно подслушал антиправительственный разговор двух членов соответственно Южного и Северного обществ — поручика Кирасирского полка графа Булгари Николая Яковлевича и прапорщика Нежинского конно-егерского полка Вадковского Фёдора Фёдоровича (сына сенатора и камергера двора). Иван Васильевич познакомился, а затем и подружился с Вадковским Ф.Ф., который в декабре 1824 года попытался завербовать Шервуда в тайное общество.

• http://www.litmir.me/br/?b=181738&p=15

• Source Wikipedia Муравьёва, Александра Григорьевна / Alexandra Grigorievna Tchernychev

Elle fut la femme du décabriste Nikita Mikhaïlovitch Mouraviev.
1826, elle reçut l'autorisation et elle fut l'une des premières épouses de décabriste à suivre son mari en Sibérie.
Elle laissa ses trois jeunes enfants à sa belle-mère et en passant par Moscou, elle vit Alexandre Sergueïevitch Pouchkine qui lui donna ses poèmes adressés aux décabristes.
1827, elle arriva à la prison de Chita.

(voir en russe, domaine de Korsun).

Domaine de Korsun.

Il fut le fils unique de Piotr Vassilievitch et d'Ekaterina Nikolaïevna, née Chetnev.
1798, il reçut l'Ordre de Saint-Jean de Jérusalem.
1806, il débuta au rang de lieutenant (Поручик, 9e rang dans la table des rangs, voir en russe la Table des rangs) du régiment des chevaliers-gardes, unité de cavalerie de la Garde impériale sous le règne de l'empereur Alexandre I Pavlovitch.
1807, à la campagne de Pologne, il participa à la bataille d'Heilsberg et à la bataille de Friedland.
1812, lors de la campagne de Russie ou guerre patriotique, il fut promu au grade de colonel (Полковник, 6e rang dans la table des rangs).
1813, pendant la guerre de la Sixième Coalition, il participa à la bataille de Gross-Beren, à la bataille de Dennewitz, à la bataille de Leipzig et pour cette bataille, il reçut l'Épée d'or de la bravoure.
1814, il fut décoré de l'Ordre de Saint-Georges du 4e degré pour la bataille de Soissons.
1817, il fut général de division (Генерал-майор, 4e rang dans la table des rangs, voir en russe la Table des rangs) et pour les batailles contre les troupes de l'empereur Napoléon Ier, il reçut l'Ordre de Saint-Vladimir du 3e degré et l'Ordre de Sainte-Anne du 2e degré.
Il fut grand maître de la loge maçonnique et l'un des organisateurs de l'Union du bien-être (société secrète).
1829, il fut promu lieutenant général (Генерал-лейтенант, 3e rang dans la table des rangs).
1831, il participa à l'insurrection de Novembre (répression du soulèvement polonais) et il reçut l'Ordre de Saint-Vladimir du 2e degré et l'Ordre de Saint-Georges du 3e degré (il participa à 56 batailles dans sa vie).
1833, apprenant la mort du mari de Jeanette Ivanovna Alopaeus, il vint à Florence en royaume de Sardaigne pour l'épouser.
1835, 'en raison de circonstances domestiques', il fut démis de ses fonctions.
Il passa la seconde moitié de sa vie dans son domaine de (voir en russe, domaine de Korsun) du gouvernement de Kiev (aujourd'hui dans la région de Tcherkassy en Ukraine) qu'il reconstruisit dans un étrange mélange de styles néo-gothique et russe.

Elle fut la cousine de Varvara Alexandrovna Odoïevski (Lanskoï) et de sa sœur Prascovia Alexandrovna Odoïevski (Odoïevski) qui fut la mère du poète Alexandre Ivanovitch Odoïevski, la cousine d'Ekaterina Dmitrievna Troubetzkoï (Volkonsky), Alexandra Sergueïevna Odoïevski (Griboïedov) et son frère Fiodor Sergueïevitch Odoïevski qui fut le père du poète Vladimir Fiodorovitch Odoïevski.

• Source Wipidépia Ланская, Варвара Ивановна / Varvara Ivanovna Odoïevski (Lanskoï)

Après la mort de ses parents, elle vécut chez son tuteur Dmitri Sergueïevitch Lanskoï marié à sa cousine Varvara Alexandrovna Odoïevski (Lanskoï).
1813, riche héritière, elle épousa le neveu de son tuteur.
1814, après la mort de son frère Ivan Ivanovitch, elle hérita de tous les domaines de ses parents.
Elle eut trois passions, ses enfants qu'elle éleva sans gouvernante, la peinture et le jardinage (un petit champ sur son domaine fut jonché de roses).
Elle fut connue pour son amitié avec le métropolite Philarète de Moscou et traduisit son discours en français Conversation sur la consécration de l'église de la Bienheureuse Vierge Marie.
Elle correspondit en français avec son amie Maria Apollonovna Volkov.

1874-1875, les lettres de Maria Apollonovna Volkov, traduites et imprimées dans le Le Messager de l'Europe fournirent un riche matériel.

Son grand-père paternel Alexandre Sergueïevitch Stroganoff fut cousin avec le grand-père paternel de son mari Alexandre (Zakhari) Nikolaïevitch Stroganoff.
1818, elle épousa Sergueï Grigorievitch Stroganoff.

• Voir, Sophia Vladimirovna Golitsyne (Stroganoff)

L'ancêtre commun avec son mari fut Alexeï Andreïevitch Golitsyne ou son arrière-arrière-arrière-arrière-grand-père maternel (6 générations).

Demeure de Marino.

• Voir, Marino

Воспитывался в иезуитском пансионе, затем в Пажеском корпусе. Член петербургской ячейки Южного общества, участник и Северного общества. Осужден по 2-му разряду, приговорен к 20 годам каторги, срок сокращен до 15 лет (1826), наказание отбывал в читинском остроге, на поселении в с.Идинском Иркутской губ. По ходатайству мужа сестры ген.майора гр. де Бальмена разрешено перевести в г.Курган Тобольской губ. (1737), где купил дом (за 3320 руб.), принадлежавший декабристу Назимову. По просьбе брата, разрешено, не в пример другим, вступить на службу письмоводителем в присутственное место Тобольска (1841), кол.регистратор за отличие (1849), по выслуге лет - губ.секретарь.

• Source Wikipedia ru Sergueï Vassilievitch Saltykov

Son père la surnomma la baronne.

• Source Wikipedia no Anastasia Sergiewna Soltikoff / Anastasia Sergueïevna Saltykov

Elle fut la fille de Sergueï Vassilievitch et d'Alexandra Sergueïevna, née Saltykov.
1836, elle épousa l'attaché de l'ambassade de Saint-Pétersbourg, le chambellan Christian Fredrik Jacob von Munthe de Morgenstierne.

Лев Александрович Пушкин был троюродным братом великого поэта, а его прапрапрадед Юрий Алексеевич Пушкин - родным братом бабушки поэта - Марии Алексеевны, которая в 1773 году вышла замуж за одного из сыновей «Арапа Петра Великого» Осипа Абрамовича Ганнибала [1].

В Государственному музее-заповеднике А. С. Пушкина в селе Болдине, хранится мебель красного дерева русской работы конца XVIII — начала XIX века. Это было приобретение 1958 года у профессора Н. А. Кожина, чьим косвенным предком являлся Л. А. Пушкин. Шесть кресел с мягкими сиденьями и прорезными спинками, две банкетки, диван с высокой прямой спинкой и круглый стол на одной тумбе с доской, фанерованной красным и черным деревом. По сообщению владельца, эта мебель была привезена из болдинского имения семейства Пушкиных, куда попала из городской усадьбы Л. А. Пушкина. Позже, в бытность свою в нижегородском поместье А. С. Пушкин подарил эту мебель жительнице села Болдина Февронье Ивановне Виляновой. Вилянова, переехав в Арзамас, увезла туда и подарок. Позже мебель находилась у племянника Февроньи Ивановны, который продал ее арзамасскому купцу Бебешеву. От купца она перешла к художнику А. Д. Иконникову, а после его смерти — к последнему владельцу

Легенда, рассказанная Н. А. Кожиным, подтверждается до некоторой степени воспоминаниями самой Февроньи Ивановны и ее племянниц, живших в Арзамасе в 1890-х годах. Ф. И. Вилянова, находившаяся уже в очень преклонном возрасте, и ее родственницы говорили посещавшим их пушкинистам о дружбе семьи Виляновых с Пушкиным, о том, что Пушкин заходил к Виляновым в Болдине «пить мед» и даже хотел освободить от крепостной зависимости «дедушку Ивана Степановича» (отца Ф. И. Виляновой).

• Source Wikipedia Голицын, Борис Дмитриевич / Boris Dmitievitch Golitsyne

Il fut le plus jeune fils de Dmitri Vladimirovitch et de Tatiana Vassilievna, née Vasiltchikov.
Il fit ses études à la Faculté de droit de l'Université de Moscou.
1839, il fut affecté au département du ministère de la Justice avec le rang de secrétaire provincial (Коллежский секретарь, 10e rang dans la table des rangs, voir en russe la Table des rangs) sous le règne de l'empereur Nikolaï I Pavlovitch.
1839-1840, il fut un membre du cercle des seize (groupe d'opposition de la jeunesse aristocratique qui tint régulièrement des réunions secrètes à Saint-Pétersbourg en 1838-1840).
1843, au grade de conseiller titulaire (Титулярный советник, 9e rang dans la table des rangs) il fut transféré au cabinet du ministre de la guerre où lui fut accordé le grade de chambellan (Камер-юнкер, 9e rang dans la table des rangs).
1847, il fut muté au bureau de campagne militaire de Sa Majesté Nikolaï I Pavlovitch.
1848, il s'engagea dans la marine avec le grade de lieutenant-commandant (Капитан-лейтенант, 9e rang dans la table des rangs).
1850, il accompagna le tsarévitch Alexandre Nikolaïevitch lors d'un voyage dans le Caucase.
1853, il fut promu capitaine de 2e rang (Капитан 2-го ранга, 7e rang dans la table des rangs).
1855, il fut transféré comme colonel (Полковник, 6e rang dans la table des rangs) au régiment Préobrajensky.
1859, en tant que grand propriétaire terrien, à la demande personnelle de l'empereur Alexandre II Nikolaïevitch, il fut invité à faire partie du comité de rédaction chargé d'élaborer un règlement général sur les paysans sortant du servage, mais il refusa de travailler à la commission ayant reçu un congé pour l'étranger pour cause de maladie.
1860, il fut promu major général (Генерал-майор, 4e rang dans la table des rangs) avec admission à la suite de Sa Majesté.
1870, il fut promu lieutenant général (Генерал-майор, 4e rang dans la table des rangs). Il obtint un congé pour une durée indéterminée et vécut à l'étranger.
1878, il mourut d'une pneumonie à paris sous la gouvernance du président de la Troisième République française, Patrice de Mac Mahon.

Elle fut la fille de Nikita Mikhaïlovitch Mouraviev et d'Alexandra Grigorievna, née Tchernychev.
1832, elle alla vivre chez sa tante maternelle Sophia Grigorievna Tchernychev (Krouglikov) après le décès de sa mère.
1848, elle se maria à Mikhaïl Illarionovitch Bibikov.

С детства отличалась набожностью. К ее сыну Мише был приглашен домашний учитель, который оказался протестантом. Мальчик через него уверовал в Христа, стал читать Евангелие и усердно молиться. Внезапно мальчик заболел. Во время болезни он часто молился, говорил матери о Христе, просил ее поверить в Него, любить Его и жить по Его заветам. И с этими словами он и умер. Мать, пораженная смертью сына, отказалась от прежних светских развлечений. Ее главным желанием стало стремление услышать слова утешения, которые были бы созвучны тому, о чем ей говорил сын. Одновременно перед ней встала во всей ее жесткой неумолимости вечная богословско-этическая проблема, издавна называемая теодицеей. Она во что бы то ни стало хотела понять, как благой и справедливый Бог допускает то, что в ее глазах выглядело жестокой несправедливостью. Не найдя ответа в православии, она во время заграничных поездок заинтересовалась католичеством, слушала проповеди знаменитых католических пастырей, но католичкой не стала. Близкое знакомство с немецкими и английскими протестантами тоже не оставило глубокого следа в ее душе. В Париже она познакомилась с английским проповедником-дарбистом ирландского происхождения лордом Редстоком, который помог ей увидеть смысл своих страданий, покаяться и примириться с Богом. Именно от нее Редсток получил приглашение посетить Россию. В ее большом петербургском доме в Гавани, на Среднем проспекте Васильевского острова, зазвучали его первые проповеди. Е. И. Черткова стала связующим звеном между дотоле ни кому не известным англичанином и высшей петербургской аристократией. Благодаря ей перед ним распахнулись двери самых значительных салонов и модных великосветских гостиных. Лесков считал его самым добрым и искренним человеком и называл «Дон-Кихотом проповедничества». Лорд Редсток появляется у Толстого в романе "Анна Каренина" под именем "сэра Джона". Став евангельской христианкой, Е. И. Черткова много сил и времени начала отдавать делам благовестия и благотворительности. Она построила специальный дом для молитвенных собраний. Ей удалось открыть в Петербурге несколько швейных мастерских и магазинов. Для работавших в них женщин и их детей устраивались христианские праздники. Девочкам-подросткам предоставлялась возможность обучаться шитью у хороших мастериц. Во время обучения и работы им читали вслух Евангелие и поясняли смысл тех мест, которые были трудны для понимания. Все доходы от продажи швейных изделий направлялись на различные благотворительные цели и в первую очередь на помощь обездоленным. Н. С. Лесков, характеризуя Е. И. Черткову в своей книге «Великосветский раскол», называл ее очень благородной и уважаемой женщиной, образцом строгой честности, всегда остававшейся совершенно чистой от всяких нареканий.

В браке Пашковы имели сына Александра (13.02.1863; Париж—1903; генерал-майор, умер от апоплексического удара) и трёх дочерей – Софью (20.03.1865, Париж— ?), Ольгу (1867—1949; художница) и Марию (11.05.1870[43]—1917).

В 1886 году Александра Ивановна вслед за мужем уехала с детьми за границу. Овдовев, вернулась с незамужними дочерями Ольгой и Марией в Россию. Жили в родовой усадьбе Пашковых в Ветошкино Нижегородской губернии. Умерла в эмиграции во Франции, похоронена в Версале на кладбище Нотр-Дам.

Iaropolets.

1847, il fut orphelin à l'âge de 13 ans et l'empereur Nikolaï I Pavlovitch le plaça sous la tutelle du comte Vielgorsky.
1847, il hérita de la partie nord-est du (voir en russe, domaine Iaropolets) près de Volokolamsk qui passa à sa mort à sa fille Sophia Ippolitovna et à son gendre Alexandre Fiodorovitch Bezobrazov.
1859, il combattit dans le Caucase et il fut présent à la prise de Chamil.
Il fut un aide de camp de l'empereur Alexandre II Nikolaïevitch.
À la retraite, il fut général major (Генерал-майор, 4e rang dans la table des rangs, voir en russe la Table des rangs).